vendredi 29 janvier 2010
Hiver Bostonien
jeudi 21 janvier 2010
Du networking aux Etats-Unis
lundi 11 janvier 2010
Good news or bad news ?
"Pakistan climbing fees frozen another year Pakistan Climbing fees, cut in half since 2006, are remaining the same for one more year. The climbing permit for a team of seven on K2 is $6000 (plus $1000 per each extra member), and just $4500 for 7pax teams ($750 per extra member) on the rest of Pakistan’s 8000ers."Finalement, c'est peut-être une mauvaise nouvelle en fait. Certes, les alpinistes, cette année encore, paieront moins cher leur ticket pour les plus belles montagnes du monde, mais en même temps, cette annonce signifie que le tourisme ne repart toujours pas là-bas... Décidément, le terrorisme est un véritable drame.
dimanche 10 janvier 2010
Early January in New York, 2010
Harvard Business School: A World Of Opportunities
“In recent years, there has grown up a culture of discontent among the highly educated young something that seems to flare up, especially, when people reach their late 20s and early 30s. It arises not from frustration caused by lack of opportunity, as may have been true in the past, but from an excess of possibilities.
(…) the late 20s to early 30s are often considered a period of reappraisal. (…) when people manage to remain free of financial or family burdens, and where the perceived opportunities for alternative careers are many, the reappraisal is likely to be strong.
(…) Among no social group is this more true than the modern, International, professional elite: that tribe of young bankers, lawyers, consultants and managers for whom financial, familial, personal, corporate and (increasingly) national ties have become irrelevant. Often they grew up in one country, were educated in another, and are now working in a third. They are independent, well paid, and enriched by experiences that many of their parents could only dream of. Yet, by their late 20s, many carry a sense of disappointment: that for all their opportunities, freedoms and achievements, life has not delivered quite what they had hoped. At the heart of this disillusionment lies a new attitude towards work.
(...) Jobs are no longer just jobs; they are lifestyle options. (…) This leads to the popular fallacy that you can measure the value of your job (and, therefore, the amount you are learning from it) by the amount of time you spend on it. (…) Thus, whereas in the past, when people in their 20s or 30s spoke disparagingly about nine-to-five jobs it was invariably because they were seen as too routine, too unimaginative, or too bourgeois. Now, it is simply because they don't contain enough hours.
(…) Jane, a 29-year-old corporate lawyer who works in the City of London, tells a story about working on a deal with another lawyer, a young man in his early 30s. At about 3am, he leant over the boardroom desk and said: "Isn't this great? This is when I really love my job." What most struck her about the remark was that the work was irrelevant (she says it was actually rather boring); her colleague simply liked the idea of working late.
Unfortunately, when people can convince themselves that all they need do in order to lead fulfilled and happy lives is to work long hours, they can quickly start to lose reasons for their existence.
(…) Nothing is valued so highly as accumulated experience. Nothing is neglected so much as commitment. (…) Kathryn is a successful American academic, 29, who bucked the trend of her generation: she recently turned her life round for someone else. She moved to the UK, specifically, to be with a man, a decision that she says few of her contemporaries understood. "We're not meant to say: 'I made this decision for this person. Today, you're meant to do things for yourself. If you're willing to make sacrifices for others - especially if you're a woman - that's seen as a kind of weakness. I wonder, though, is doing things for yourself really empowerment, or is liberty a kind of trap?" she says.
(…) "Loneliness is better than boredom" is Jane's philosophy.(…)
(…) The notion that one can do anything is clearly liberating. But life without constraints has also proved a recipe for endless searching, endless questioning of aspirations. It has made this generation obsessed with self-development and determined, for as long as possible; to minimize personal commitments in order to maximize the options open to them. One might see this as a sign of extended adolescence. Eventually, they will be forced to realize that living is as much about closing possibilities as it is about creating them.
- Choisir, c’est se lancer sur un chemin, et donc renoncer à un autre, laisser de côté une opportunité qui a priori a de la valeur. Et plus l’opportunité sacrifiée est valable, plus le choix est cornélien…. Certes, on peut voir le dilemme de manière positive, en observant que faire un bon choix mène à suivre le chemin préféré, plutôt que de penser négativement en se focalisant sur l’opportunité abandonnée mais… il y a toujours le risque de faire un mauvais choix. Au moins, quand on n’a pas le choix, on ne risque pas de se tromper d’alternative. Je sais, c’est ridicule, mais c’est (au moins partiellement) vrai.
- En général, on ne nous a pas trop appris à prendre des risques. Et jusque là, si le chemin que nous avons suivi fut difficile, il a toujours été peu risqué. Sauf bien sûr pour les quelqu’un d’entre nous qui ont décidé de passer leur été en Himalaya - mais comme je le dit depuis plusieurs année maintenant, lorsque tout est bien préparé, le risque est réduit.
- Nous sommes encore à peu près lucides, si si. Et conscients qu’un diplôme d’HBS ou quelques années dans un cabinet d’avocat Parisien respectable, ça a une grande valeur dans un certain contexte. Mais dès que l’on quitte notre petit monde pour un autre plus généralement partagé, monde qui ne reconnaît pas tant le diplôme que l’expérience ou la compétence réelle, le bout de papier, même encadré dans un joli cadre grand format, ne vaut plus grand-chose… Nous savons que si la moyenne de rémunération des étudiants d’HBS en sortie d’école est d’environ Xk$ (largement due aux salaires de la finance aux Etats-Unis d’ailleurs-donc mon cas est différent!), ce chiffre doit être pris avec pas mal de recul...
- Se noyer dans le travail, c’est aussi un bon moyen pour ne pas avoir à trop réfléchir sur ces questions plus profondes du « où-suis, je où vais-je et qui suis-je… ». La chute n’en sera que plus dure, mais faire l’Autruche, ça peut marcher pas mal d’années, non ?
- Etc… mais je suis fatigué et j’ai envoie aller me coucher, et de toutes façons vu la longueur du post, plus personne ne me lis, là…
mercredi 6 janvier 2010
2009 - Bilan des activités
Le concert de U2 à boston-How does a Rock leader looks like?
Pour être honnête, je n’ai pas trouvé ça génial en soi, la musique de U2. Et le Gilette stadium est tellement immense qu’on se sent vraiment tout petits face à Bono, THE leader du groupe U2… C’est sûr qu’aussi, avec nos billets d’étudiants désargentés (10$ pièce, moins cher qu’une bière au bar du stadium), on était à un bon kilomètre de la scène, j’exagère à peine… En revanche, quel plaisir de voir Fiona, Irlandaise d’origine, s’égosiller sur les paroles de bloody Sunday ! En un mot, l’aventure valait bien les 4 heures d’embouteillage, essentiellement parce que les copains étaient là… car je suis resté assez insensible au Leadership de notre ami Bono.
L’anniversaire de Loeiz-How a leader has grown up
Ça, c’était chouette. Loeiz est vieux, et ses copains Amélie et Thierry étaient gentiment venus exprès à Boston pour le lui rappeler. C’est toujours drôle de voir la réaction de personnes de la vraie vie face à nos activités d’étudiants endurcis, il y a toujours un léger décalage -surtout quand on leur présente le leader de la soirée, en l’occurrence Loeiz, à qui l’on offre encore un tas de bouquins pour préparer… ses prochaines vacances en Alaska !
Montréal, « je me souviens… »-No more leadership here
En montant dans notre voiture de location ce week-end de novembre avec Loeiz, Quentin et Guillaume qui avait abandonné sa femme pour quelques jours, je savais à peine dans quelle ville j’allais mettre les pieds quelques heures plus tard. Montréal fut une excellent surprise ; pensez-vous, les gens parlent ici une langue que je comprends enfin, avec un accent savoureux, et les activités de jour comme de nuit, sont toutes charmantes… je n’en dis pas plus, nous avons surtout écouté du Jazz, visité des banques (véridique) et marché le long du Saint-Laurent, le plus souvent sous la pluie. Pour le reste, ce qui se passe à Montréal… reste à Montréal !